Ange_triste Admin
Nombre de messages : 381 Age : 37 Localisation : ahbet el habta dour 3alisar puis 3alimin,3alisar,3alimin e5er beb lounou azra9 tu peux pas le rater Date d'inscription : 27/08/2008
| Sujet: FESTIVAL INTERNATIONAL DE CARTHAGE - Concert de Youssou N’Dour Jeu 28 Aoû - 11:34 | |
| Concert de Youssou N’Dour La voix de l'amour et de la paix «Ce soir, je représente l’autre facette de l’Afrique, celle qui n’est pas malade, ne souffrant guère de la famine et du sida, celle qui danse et chante pour répandre l’amour à travers le monde», cri de Youssou N’dour sous un torrent d’applaudissements.
Sur la scène de l’amphithéâtre de Carthage, mercredi dernier, le chanteur sénégalais paraît ravi de répandre sa musique sur une terre africaine…Sa voix reconnaissable entre mille, paraît plus que jamais grailleuse et cristalline.
Cet artiste a l’art de charmer le public. Même s’il parle une langue étrangère, le «wolof», le message semble passer très bien. Les gradins de Carthage vibrent aux rythmes de cette musique exceptionnelle aux allures internationales et dont la base s’inspire des rythmes populaires sénégalais, le mbalax en particulier. La communion fut parfaite.
La musique de Youssou N’dour brise les frontières et nourrit le dialogue universel. Pour certains, cet artiste flirte dangereusement avec une musique africaine "formatée pour l’international". Pour d’autres, il est le roi des rythmes de la terre rouge... Ce soir-là, Youssou N’dour a tout simplement été un chanteur égal à lui-même.
Son concert était un hymne à la joie et à l’amour, réparti en deux programmes : le premier est consacré aux morceaux, certes, africains mais inspirés de plusieurs rythmes du monde, la «World music», précise-t-il. Le second est dédié à un genre de musique sénégalais, le «balakh». L’oreille découvre un univers où planent plusieurs sonorités aussi diverses qu’homogènes. Pour finir, il a présenté quelques morceaux de son huitième album international Rokku mi rokka.
La fête a battu son plein sur la scène comme sur les gradins de Carthage. On danse et on chante. Pendant une heure et demie de musique, Youssou N’dour a réussi à ensorceler un public en l’entraînant dans une sorte de transe qui fait oublier, comme par magie, toute la souffrance d’une Afrique souffrante.
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